Faire sa valise quand on sait qu’à l’arrivée, il y aura tout juste 2 sacoches de chaque côté de sa moto, ça peut paraître assez simple… et bien pas du tout. Cela n’est ni simple, ni rapide car il faut bien choisir ce qui est vraiment nécessaire de ce qui ne l’est pas.
Personnellement, j’ai privilégié ma sécurité au glamour (j’en connais qui roulent encore en short).
Priorité number one : mon équipement qui se devait d’être confortable (j’allais le porter TOUS les jours) et d’être une vraie protection contre le froid, la pluie..et évidemment en cas de chute. Alors j’ai laissé les tongs, shorts, jolis petits hauts etc…pour des gants mappa (j’ai encore rien trouvé de mieux pour être totalement au sec au niveau des mains), pantalon et veste de pluie, bottes renforcées niveau malléole et étanches !
A propos de bottes, juste un petit conseil : ne les enlever pas dans l’avion car sinon vous ne pourrez jamais plus les remettre une fois l’avion atterri…..j’ai vécu l’expérience et j’ai été bien ridicule.
J’ai pris un tas de petites choses qui peuvent toujours être utiles : opinel, sacs congel, gaffer, lampe frontale, couverture de survie (ne pas s’amuser à la déplier sans raison, à replier c’est un enfer).
Enfin, il faut savoir qu’au Japon vous pouvez trouver à peu près tout dans les « Convenient Store » .
De la mini poêle au slip à l’unité en passant par de la peinture en bombe, vous trouvez tout dans les nombreux 7eleven ou autres qui longent les routes.. enfin, sauf dans les forêts de Shikoku, où là il vaut mieux tout avoir.
Mais, voyez plutôt le contenu de ma valise.
